Si l'on en croit Taylor, c'est dans l'abattoir que tout commence. C'est sans doute dans l'hôpital qu'un jour tout cela se terminera. "
C'est chez Renaud Camus, ici.
J'ai rarement rencontré un tel bonheur de vérité dans un assemblage de mots choisis pour dire ce qui nous arrive, à nous humains qui habitons ce pays : notre chair, si faible sous les coups de l'ennemi déterminé, et notre esprit, qui plonge ses racines dans une si grande civilisation .. ni notre chair ni notre esprit ne résisteront à la main qui manie le coutelas, guidée par la folie exterminatrice.
Et les assassins sont importés par milliers pour satisfaire le sadisme d'imbéciles du même niveau que les kapos infâmes qui jouissent du spectacle de la mise à mort de ceux qu'ils ont choisi de haïr, et qui, après avoir baissé le pouce pour les désigner aux assassins, les "mettent" encore, en levant le majeur comme indice de leur plus-de-jouir :
